Santé




Tchad : le premier ministre tient une réunion de Concertation avec les responsables du ministère de la Santé

Le premier ministre de transition, Saleh Kebzabo a présidé le 9 février, une réunion de concertation et d’échanges avec les…

Le premier ministre de transition, Saleh Kebzabo a présidé le 9 février, une réunion de concertation et d’échanges avec les responsables du ministère de la Santé Publique.

Cette réunion cadre bien avec les ambitions du gouvernement en perpétuelle quête d’une meilleure gouvernance de son système sanitaire. Car les offres de services actuelles sont loin de satisfaire les attentes des patients qui affluent par milliers dans les structures les hôpitaux et centres de santé. Face aux nombreuses sollicitations des malades, le personnel est débordé et ne parvient pas toujours à réaliser une prise adéquate. Autant de défis structurels et conjoncturels auxquels le gouvernement doit trouver des réponses adaptées. En claire, le ministère de la Santé Publique doit davantage investir dans le capital humain en renforçant leurs capacités de façon continue tout autant que les structures hospitalières sur l’ensemble du territoire. Il s’agit d’œuvrer pour répondre aux exigences ratio-personnel soignant et patients.

La rencontre autour du chef du gouvernement Saleh Kebzabo a consisté à identifier les goulots d’étranglement en vue d’apporter des solutions appropriées dans l’optique d’améliorer la qualité d’offres en soins.

Pour le premier ministre de Transition Saleh Kebzabo la santé Publique occupe une place privilégiée. Il faut engager à cet effet, des actions fortes pour améliorer totalement ce secteur.

Après cette réunion de concertation et d’échanges, il ressort de la présentation faite par le SG du ministère de la Santé Publique axée le thème, « préventions: défis et perspectives pour l’amélioration des indicateurs de santé en période de transition », suivi des discussions. Il en ressort que le Tchad reste l’un des pays confronté à une situation sanitaire marquée par une morbidité et une mortalité très élevées dues aux épidémies, aux maladies transmissibles et non transmissibles. Tout compte fait, le chemin reste encore long pour améliorer les indicateurs de la santé et rendre le système sanitaire de plus en plus performant.

Source : Primature

Suivez l'information en direct sur notre chaîne