Fait divers : un homme perd la vie à l’intérieur d’un cabinet de soins

Selon les témoignages, le patient a fait son entrée au cabinet de soins, logé dans une concession, vers 16 heures et est décédé une heure après.

Dans l’après-midi du 19 mars, au quartier Farcha Madjorio, dans le premier arrondissement de N’Djamena, un homme d’une trentaine d’années  trouve la mort dans un cabinet de soins de fortune. Paniqué, le  soi-disant médecin, détenteur de ce cabinet,   n’a pu saisir la police. Il a fallu attendre jusqu’à 22 heures pour que son frère, ne pouvant plus supporter cette situation,  aille informer la police qui s’est aussitôt déployée pour faire le constat et embarquer le détenteur des lieux. Aucun proche de la victime ne s’est présenté sur le lieu.

D’après les sources, ce cabinet existe depuis longtemps mais son détenteur n’a aucune autorisation légale et aucune formation dans le domaine médical, hormis sa formation en secourisme donné par la Croix-Rouge du Tchad. « Il hospitalise les gens et même tout », affirme un riverain.

Ce cas amène à relancer le débat sur le contrôle des centres et cabinets de soins que le ministère de la Santé publique a entamé courant 2018 et qui a vu la fermeture de quelques sites hors normes.

 

Tchad : l’ambassadeur Abderahim Yacoub Ndiaye meurt à l’âge de 75 ans

Marié et père de 14 enfants, Abderahim Yacoub Ndiaye est décédé le 21 février 2019, à son domicile à N’Djaména.

En effet, il est né le 07 mars 1943 à Bousso dans le Chari-Baguirmi. Titulaire d’une maîtrise en Droit de l’Université Paris 2 obtenu en 1974, il est par ailleurs diplômé de l’Ecole Nationale d’Administration – Tchad (1965). D’autre part, il a fait l’ENA de Paris en 1967.

En tant qu’administrateur civil, il a exercé de hautes fonctions au service de son pays. Ainsi, il a exercé de Hautes responsabilités dans les sociétés Nationales. De ce fait, le Tchad perd en Abderahim Yacoub Ndiaye un de ses valeureux fils qui l’ont servi avec patriotisme, loyauté et un sens élevé du bien commun.