La jeunesse tchadienne porte la candidature de Me Abakar Djerma Aumi à la présidence de l’UAJ

Le Conseil national de la jeunesse du Tchad a organisé un point de presse le 27 janvier 2021 pour manifester son soutien à la candidature de Me Abakar Djerma Aumi tchadienne à la Présidence de l’Union Africaine de Judo (UAJ)

La communication portant soutient à la candidature du tchadien Abakar  Djerma Aumi a été faite par Asdjim Belndoum, secrétaire à la communication, par ailleurs, porte-parole du Conseil national e la jeunesse du Tchad. Il a indiqué que : « s’il est aujourd’hui candidat à ce poste, c’est parce qu’il a la ferme conviction de pouvoir apporter un renouveau et un dynamisme croissant pour le développement et la promotion du judo africain ».

Le CNJT invite les jeunes à s’investir pour le bon déroulement de la réunion sur l’avenir du judo africain prévue du 12 au 14 février 2021. Laquelle connaitra la participation d’une vingtaine de pays. « La candidature d’Abakar Djermah Aumi est une fierté pour la jeunesse tchadienne », a déclaré le porte-parole du CNJT.

L’actuel président du Comité olympique et sportif (Cost), Abakar Djermah Aumi avait annoncé sa candidature sur sa page Facebook : « Je voudrais informer au nom du Ministère de la Promotion des Jeunes, des Sports et de l’Emploi du Tchad, du Mouvement Sportif Tchadien, la grande famille du judo africain et au nom de la famille du judo tchadien que je suis candidat à l’élection à la Présidence de l’Union Africaine de Judo (UAJ) dont l’Assemblée Générale Elective est prévue en Avril 2021 »

L’élection de l’UAJ se tiendra au Maroc, le 18 mai 2021. Le candidat du Tchad est soutenu par plusieurs pays et une trentaine de fédération.

Abakar Djermah Aumi : dévoile son programme de développement du judo en Afrique

Abakar Djermah Aumi : dévoile son programme de développement du judo en Afrique

Candidat à la présidence de l’Union africaine de judo, Maitre Abakar Djermah Aumi (5ème dan) a les arguments à faire valoir. Soutenu par une trentaine de fédérations africaines, le président du Comité olympique et sportif tchadien  a un ambitieux projet d’épanouissement des jeunes judokas du continent.

 C’est à travers un entretien à la radio national du Tchad qu’Abakar Djermah Aumi a annoncé récemment sa candidature à l’Union africaine de judo. « Ma candidature n’est pas celle d’une personne. La notion de collectif est très importante pour moi, car c’est ensemble qu’on fera avancer le judo sur notre continent. C’est fort de l’excellent travail que j’ai effectué en tant que Directeur sportif lors du championnat d’Afrique au Burundi en 2019, que mes pairs, et notamment les burundais, m’ont demandé de me porter candidat à la présidence de l’Union africaine de Judo », clame–t-il.

A 45 ans, le 29 mars 2021, le président de la fédération tchadien de judo  est par ailleurs actuel président du Comité national olympique connait très bien l’Union africaine de judo, pour être son directeur technique depuis 2016. Sportif chevronné aux multiples casquettes, il est également depuis 2018 vice-président de la Commission finance de l’Association des comités olympiques nationaux d’Afrique (Acnoa).

C’est fort de toutes  ses expériences de sportif de haut niveau et de grand manageur qu’Abakar Djermah Aumi souhaite que le judo en Afrique amorce un grand virage. « Il est nécessaire pour cela que les africains s’appuie sur  ma personne et toute l’équipe qui m’accompagne pour faire développer le judo dans chaque pays. Nous sommes une équipe de gens qui connaissent très bien l’économie du sport et qui possèdent tous les atouts  pour mieux comprendre l’évolution actuel du monde de judo. Nous avons l’obligation et le devoir de développer le judo, grâce à des stratégies innovantes, de détection, de vulgarisation et de formation des encadreurs ».

Pour le développement du judo africain 

Par ailleurs, pour le candidat tchadien, il faudra consolider et renforcer l’organisation des compétitions  (Cup Africa et Open Africa) , des séminaires et de stages de Haut niveau dans chaque zone économique  définis par l’Union africaine de judo.

En cas d’accession au pouvoir, au mois de mai prochain au Maroc, l’ancien grand champion entend redonner au judo tout ce qu’il lui a apporté. «  Ensemble et avec la foi combattante, nous nous attèlerons à consacrer notre vision partagée qui est celle du judo que nous rêvons pour notre continent et pour les générations futures. Pour y parvenir, la culture de la paix à travers le judo  sera notre politique et le code moral du judo notre ligne de conduite », indique ce membre de la Commission ‘’judo for peace’’de la fédération internationale de judo.

Abakar Djermah Aumi a dès son enfance su allier les études au sport. C’est ainsi qu’après son baccalauréat, série D, obtenu en 1997, il a poursuivi son cursus académique. Obtenant tour à tour un Brevet de technicien supérieur en gestion et comptabilité, puis une maitrise de gestion et finances. Un cursus académique qui lui a permis d’occuper de prestigieux postes dans l’administration publique du Tchad. Il a été notamment directeur général des sports au ministère en charge des Sports. Aujourd’hui, il va la conquête du continent : « pour un renouveau et un dynamisme croissant pour le développement du judo africain ».

Tchad : le centre régional de judo sera bientôt livré

Le ministre de la jeunesse et des sports Mahamat Nassour Abdoulaye a visité le centre national de judo en construction à Habena dans le 7e arrondissement en compagnie du président de la fédération du judo

Mahamat Nassour Abdoulaye et le président du Comité olympique et sportif (COST) tchadien, par ailleurs président de la Fédération tchadienne de judo, Abakar Djermah Aumi ont effectué une visite d’évaluation des travaux du centre régional de judo le 13 juin dernier. Les deux hommes ont été satisfaits de l’avancée des travaux. L’édifice dont la construction a débuté en 2019 regorge,  deux vestiaires hommes et dames, une aire de combat. Le montant de la réalisation s’élève à 250 000 dollars. C’est un don de la fédération internationale de judo.

Les travaux ont été freinés en raison de la crise sanitaire liée au coronavirus. Néanmoins aucun retard n’a été observé. Le président de la fédération de judo s’est dit satisfait de l’avancée des travaux. Il souligne que c’est son rêve qui se réalise. La seule chose qui reste d’après lui ce sont les ressources humaines et techniques et financières. « Ce dojo est un projet d’envergure qui permettra non seulement à l’équipe nationale d’avoir un centre d’entrainement mais aussi de faire face aux échéances mondiales à venir », confie le patron de la discipline judo au Tchad. Le centre vient favoriser les activités sportives a-t-il fait savoir. Le centre permettra aux judokas de se préparer pour jeux olympiques de Tokyo 2021.

Sport : la Cup-Africa juniors et cadets s’ouvre le 23 mars à N’Djamena

La Fédération tchadienne de judo annonce l’organisation, du 23 et 24 mars, la coupe d’Afrique de judo, juniors et cadets, au Palais de sport de N’Djamena.

Elle se déroulera au Palais de sport, au quartier Diguel, dans le 8ème arrondissement. A la première journée de cette coupe d’Afrique, la compétition mettra en lice la catégorie cadette et à la deuxième journée les juniors.

L’annonce officielle a été faite ce lundi 18 mars, par le vice-président de la Fédération tchadienne de judo, Yamita Hassan. Selon lui, « cette compétition va permettre de rehausser le niveau des judokas, des arbitres, des entraineurs et des commissions sportives nationaux ».

En effet, le Tchad va participer à cette compétition avec plus des 40 judokas dans deux catégories : éliminatoires et bloc finaliste. L’âge des compétiteurs est compris entre 14 à 21 ans.

A noter que le pays de Toumaï est à sa toute première édition d’organisation.

 

Sport : le Tchad décroche 5 médailles au Burundi à l’issue de la Coupe d’Afrique de Judo

Grâce à ce record, le Tchad finit deuxième à l’issue de cette compétition internationale.

En compétition au Burundi dans le cadre de la Cup Africa cadet et junior qui s’est déroulée du 2 au 3 mars, les judokas tchadiens ont décroché 5 médailles et occupe la deuxième place derrière le pays organisateur.

Le Tchad a clôturé son séjour burundais en beauté d’où les trois judokas en compétition à la Cup Africa cadet et junior ont rapporté cinq médailles dont 3 en or, 1 en argent et 1 en bronze.

La jeune judokate, Fatime Barka Segue a, arraché deux médailles en or dans la catégorie de moins 52 kg. Tandis que le jeune Allamine Abdelaziz a remporté lui aussi une médaille en or dans la catégorie de moins 60 kg. Youssouf Ramadan clos la performance des judokas tchadiens en décrochant respectivement une médaille en argent et une en bronze.

Fatimé Barka Sègue  fait parler d’elle pour la deuxième fois. La première fois, c’était lors des jeux africains de la Jeunesse à Alger en 2018 où elle a décrochée une médaille en bronze. Et cette fois-ci à la coupe d’Afrique de judo.

Les poulains de l’entraîneur national de Judo, Ahmed Djermah Dessering, ont présenté une performance de très haut niveau sur le tatami lors de cette compétition malgré, la forte présence de pays africains dans cette catégorie des jeunes.

 

JAJ: le Tchad enregistre six médailles

Les athlètes ont présentés leur « butin de guerre » obtenu aux Jeux Africains de la Jeunesse (JAJ), au ministre en charge des sports, hier lundi 06 aout.

 

Six médailles ! Dont une argent et cinq en bronze. C’est le total des médailles qu’a remporté le Tchad, lors de sa participation aux Jeux africains de la jeunesse du 18 au 28 juillet dernier à Alger, en Algérie.

Revenus au pays, ces athlètes ont été reçus par le ministre des sports. C’était ce 06 aout. Les sportifs tchadiens ont ainsi présenté leur récompensés à l’homme du gouvernement. Les disciplines qui ont valu des médailles aux ambassadeurs tchadiens ayant pris part aux jeux africains de la jeunesse sont : le Judo,  le Taekwondo et le Tir à l’arc.

Le ministre de la promotion des jeunes, des sports et de l’emploi, Mahamat Nassour Abdoulaye constate : « on était vraiment minoritaire à Alger, si nous étions plus nombreux que ça, peut être que notre mention serait meilleure. Pour que nous soyons nombreux, il fallait mettre des moyens, c’est ce que nous n’avons pas fait ».

Toutefois,  Mahamat Nassour Abdoulaye  informe que les trois disciplines ont pu arriver à la troisième place en remportant des médailles de bronze  « Ce n’est que partie remise. Nous allons tout faire pour que les conditions se réunissent et nous  demanderons aussi aux autres de doubler d’efforts. La prochaine fois, nous ferons tout pour que la majorité des disciplines sportives participe » dit-il. Le ministre en charge des sports  promet par ailleurs de soutenir ces sportifs pour mieux préparer les jeux olympiques de paris en 2024.