Tchad : les tchadiens immigrés en France exigent le départ immédiat de l’armée française du sol tchadien

C’est pour cette finalité que ce comité organisera une manifestation le 7 mars prochain, devant l’Assemblée nationale à Paris.

« Les 4, 5 et 6 février 2019, la France a bombardé une colonne de rebelles au Nord du Tchad faisant plus de 160 morts. Elle a arrêté et remis aux mains de l’armée tchadienne plus de 250 d’entre eux. Nous, tchadien(ne)s immigré(e)s en France, exigeons le départ immédiat de l’armée française du sol tchadien. Pour cela nous organisons une manifestation le 7 mars prochain à 13h devant l’Assemblée nationale à Paris… Nous n’avons pas besoin de la France pour régler nos problèmes, à bas le colonialisme », clame-t-il.

Présente au Tchad depuis 60 ans, l’armée française pose de vrais problèmes au peuple tchadien. En effet, selon le comité, la France n’a jamais soutenu la construction d’un Etat de droit. Elle n’a ni œuvré à l’avènement d’un Etat démocratique au Tchad.

Ainsi, ces ingérences de la France au Tchad, ont suscité d’après ces derniers, de nombreuses indignations dans l’opinion nationale/internationale. C’est dans ces circonstances troubles au contour juridique saugrenu, que la France justifie son intervention militaire et meurtrière.

Aussi, des réelles menaces pèsent désormais sur les leaders de l’opposition démocratique, de la société et toutes voix discordantes qui tentent de mettre à nu l’ingérence de la France au Tchad et les pratiques anti-démocratiques du régime actuel.

Face à ces frappes disproportionnées et illégales de l’armée française, les tchadiens dans leur majorité, s’indignent et dénoncent avec véhémence cette ingérence dans les affaires intérieures du Tchad. « C’est pourquoi, nous avons décidé d’organiser des manifestations pour exiger la souveraineté intégrale du Tchad pour demander le départ immédiat et sans condition de l’armée française de notre pays », soutiennent-ils.

 

Tchad : C3 Médical veut former un cercle médical Tchad-Maroc-France

Dr A. Sokari, directeur médical de C3 Médical, a effectué une courte visite de deux jours à N’Djamena.

 En effet, sa visite visait à renforcer une relation tripartite dans le secteur de santé entre la République du Tchad, la France et le Royaume du Maroc. Pour cela, il s’est entretenu avec  le ministre de la santé publique, Aziz Mahamat Saleh et la première dame Hinda Deby Itno. Au centre des discussions, des moyens de renforcer une coopération sur le plan médical pour les malades tchadiens dont le traitement à l’étranger reste une nécessité.

Ainsi, lors de sa visite, il a donné un aperçu sur la volonté d’organiser une collaboration avec la Fondation Grand Cœur. Il s’agit d’opérer plusieurs enfants tchadiens souffrant de fentes labiales et labiopalatines dans les prochains mois. Ces entretiens ont couronné la visite du Dr Sokari qui a rendu une visite à l’Hôpital Mère et Enfant. Aussi, il a fait des descentes avec des acteurs des secteurs publics et privés pour établir un point de coopération entre le C3 Médical et le Tchad.

C3 médical offre la possibilité d’organiser un parcours de soins bien défini tout en garantissant l’optimisation des coûts à travers les relations solides. Entre C3 médical et plusieurs structures sanitaires de renommées internationales  figure la France et le Maroc. On peut citer l’Institut Curie, IMM, Hôpital Saint Joseph à paris ainsi que d’autres cliniques et hôpitaux à Casablanca.

 

Tchad : l’opposition tchadienne réagit suite aux frappes françaises contre des rebelles de l’UFR

Ce mercredi 13 février, le chef de la diplomatie a expliqué aux ambassadeurs accrédités à Ndjamena le cadre de cette intervention pendant qu’une partie de l’opposition demande à Paris d’aller plus loin dans l’ingérence.

Au Tchad, la polémique continue au sujet des frappes françaises qui ont stoppé la progression des rebelles de l’Union des forces de la résistance (UFR), qui affirmaient vouloir descendre sur la capitale pour prendre le pouvoir.  Au corps diplomatique, le ministre des Affaires étrangères, Chérif Mahamat Zene, a expliqué – reprenant l’argumentaire de son homologue français Jean-Yves Le Drian entendu la veille devant des députés réunis en commission – que ce que la France a fait il y a une semaine, c’est ce qu’elle a fait au Mali il y a sept ans : « La France n’a pas soutenu un régime, ni un parti, encore moins un président. Elle a aidé un Etat ami confronté à un ennemi organisé, armé et financé depuis l’étranger pour tenter de prendre le pouvoir par la force. Le Tchad était face à un danger comme l’avait été le Mali face aux colonnes djihadistes qui ont foncé en 2012 sur Bamako. »

La Coalition des partis politiques pour la défense de la Constitution, le plus vieux regroupement de l’opposition, invite Paris à faire plus que sauver le régime. « Les Français qui sont devenus par la force de l’Histoire, nos partenaires principaux, je pense qu’ils ont un bon rôle à jouer au Tchad, celui de favoriser le dialogue entre Tchadiens. Y compris ceux qui ont pris les armes qui ont droit à la parole ; mais cela doit se faire dans le cadre d’un dialogue politique inclusif », lance Poddi Djimet, porte-parole de la Coalition.

Rappelons que ce vendredi, le parti au pouvoir et ses alliés organisent un grand meeting de soutien au chef de l’Etat au grand stade de Ndjamena.

 

Tchad : « La France est intervenue pour éviter un coup d’Etat » (Jean-Yves Le Drian)

Le ministre français des affaires étrangères a affirmé ce mercredi 13 février 2019, la France est intervenue militairement au Tchad la semaine dernière, dans le respect du droit international en vue d’éviter un « coup d’Etat » menaçant le président Idriss Deby.

« Il y a eu une attaque d’un groupe rebelle venu du Sud libyen, qui est déstabilisé, pour prendre le pouvoir par les armes à N’Djamena, et le président Deby nous a demandé par écrit une intervention pour éviter ce coup d’Etat venu du Sud libyen et pour protéger son propre pays », a déclaré le chef de la diplomatie française au cours de la séance des questions d’actualité à l’Assemblée nationale.

A titre de précision, des appareils de l’opération française Barkhane ont bombardé au Tchad la semaine dernière, pendant plusieurs jours, un groupe rebelle lourdement armé venu du sud de la Libye à bord d’une cinquantaine de pick-ups. Les autorités françaises ont expliqué agir à la demande d’Idriss Deby pour éviter une « déstabilisation » du pays. L’expression « coup d’Etat » n’avait jusqu’alors pas été prononcée.

« Ceci est tout à fait conforme au droit international, le Premier ministre en a informé le président du Sénat et le président de l’Assemblée nationale », a-t-il répondu à une question d’un député du groupe Libertés et territoires qui s’interrogeait sur un éventuel « changement de doctrine » de la France.

Tchad : la CASCIDHO félicite l’appui français aux côtés de l’armée tchadienne

La Coordination des associations de la société civile et de défense des droits de l’homme (CASCIDHO) s’est exprimée sur la situation au Nord du pays. L’organisation entend ainsi se positionner du côté du président tchadien Idriss Deby Itno.

 Après la période d’affrontements entre les rebelles de l’UFR et l’armée tchadienne, la Cascidho a décrié toute tentative de prise de pouvoir par les armes. En effet, pour le coordinateur de la Cascidho, Mahamat Digadimbaye, « Cette agression contre la République du Tchad est une attaque contre l’Etat de droit, la démocratie et les institutions républicaines », a-t-il évoqué.

C’est pourquoi, la Cascidho apporte son soutien au président Idriss Deby Itno et à l’armée nationale tchadienne. Par conséquent, elle a salué l’appui légitime de la France, qui, selon elle était justifiée auprès de l’armée tchadienne. « L’engagement de la France vise à défendre la démocratie, la paix et la solidarité dans le pays dans la sous régions », défend le coordinateur de la CaschidhoLa Cascidho demande l’ouverture urgente d’une enquête judiciaire pour que les auteurs, co-auteurs et/ou complices répondent de leurs actes devant les juridictions compétentes.

Raids contre l’UFR au Tchad : l’armée française dresse son premier bilan

L’état-major de l’armée française a donné des précisions jeudi matin 7 février sur ses frappes au nord-est du Tchad. Une vingtaine de bombardements ont eu lieu dimanche, mardi et mercredi avec comme objectif d’arrêter la progression d’une colonne de véhicules armés. Au total, sept avions Mirage ont été mobilisés : cinq venants de Ndjamena et deux de Niamey, au Niger.

Les forces françaises tentent désormais de déterminer si elles ont atteint leur objectif : stopper la progression du groupe armé. Et le colonel Patrick Steiger, porte-parole de l’état-major des armées françaises, ne dit pas s’il y aura d’autres frappes dans les heures ou les jours qui viennent : « L’appréciation de situation est encore en cours. A l’heure actuelle, il reste à préciser quelles sont leurs intentions et quel est leur état exact. Tout le reste ne serait que spéculation. Je vous rappelle que c’est bien une demande qui a été faite par les autorités tchadiennes auprès de la France, et que les autorités tchadiennes conservent également la capacité de répondre à cette menace. Ce n’est pas une affaire française. »

Quant au cadre de l’intervention, le colonel Steiger précise qu’il ne s’agit ici ni de l’opération antiterroriste Barkhane ni d’agir selon les termes d’un accord bilatéral entre la France et le Tchad, mais bien de répondre à une demande d’assistance des autorités tchadiennes : « Un accord de défense ou un accord technique ou un accord intergouvernemental, c’est lié à quelque chose de spécifique. Cela ne veut pas dire qu’on ne puisse pas faire autre chose du moment que le cadre légal, en l’occurrence cette demande formelle du Tchad à la France, est établi. Je voudrais préciser que ceci n’est pas dans le cadre de l’opération Barkhane. Le fait qu’on utilise « les moyens stationnés à Ndjamena » pour des raisons de proximité, réactivité, disponibilité, j’ose croire que tout le monde comprend la logique qui est derrière. C’est bien différent de Barkhane. »

Des parlementaires français, tant à l’Assemblée nationale qu’au Sénat, s’interrogent sur l’intervention de Paris au Tchad. Au Sénat, la commission de la défense et des forces armées devrait entendre, à ce sujet, la ministre des Armées, Florence Parly. Le président de la commission, Christian Cambon, ne conteste pas cependant la légitimité des frappes françaises. A ses yeux, elles s’imposaient, notamment pour la sécurité des troupes françaises dans la capitale tchadienne.

Tchad: Idriss Deby accord audience au Conseiller Afrique d’Emmanuel Macron

Frank Paris a été reçu hier 12 décembre à la présidence tchadienne. Les deux hommes ont parlé des sujets portant sur la coopération entre les deux pays.

 

Rappelé vous le Président français, Emmanuel Macron est attendu au Tchad. Eh bien ! Le sujet était à l’ordre du jour des échanges entre Franck Paris et Idriss Deby Itno. En effet, le Président tchadien a accordé le 12 décembre dernier une audience au conseiller Afrique de l’Elysée. En plus de cette éventuelle visité du dirigeant français, il a été question de parler des relations entre les deux pays.

Ainsi comme l’affirme la présidence tchadienne, « un tour d’horizon complet de la coopération a été fait, n’occultant aucun sujet sur lequel les deux pays sont engagés. C’est le cas de la lutte anti-terroriste dans la région, pour  laquelle le Tchad, depuis des années, utilise tous ses efforts aux cotés de la France pour éradiquer ce mal ».

Selon la même source, Frank Paris a une parfaite maîtrise du dossier de la lutte contre le terrorisme. C’est lui qui s’en est fait le défenseur devant la commission européenne et le ministère français des affaires étrangères. La rencontre entre les deux hommes aura durée au total une heure d’horloge.

 

Le Tchad emprunte à la France pour payer ses fonctionnaires

Il est question d’une somme de 40 millions d’euros soit environ 26 milliards de francs CFA.

 

Le 06 décembre dernier le ministère des Finances et du Budget a abrité une cérémonie de signature de deux conventions de financement. Cette signature engage le gouvernement par la voix du ministère des Finances, le gouvernement français par la voix de son Ambassade et l’Agence française de développement (AFD). Les trois parties étaient d’ailleurs toutes présentes hier.

Ces deux conventions d’un montant total de 50 millions d’euros (environ 32,5 milliards FCFA) entre dans le cadre de l’aide budgétaire de la France au titre de l’année 2018. La première d’un montant de 40 millions est un prêt que fait l’AFD au gouvernement tchadien. Ce prêt est destiné au payement des salaires du mois de décembre des fonctionnaires civils tchadiens.

Les 10 millions d’euros restant soit environ 6,5 milliards, serviront à appuyer les efforts du gouvernement dans le domaine sanitaire. « Cette troisième contribution budgétaire n’est pas si fréquente dans nos modes d’intervention. La France manifeste de manière concrète sa solidarité active avec le peuple tchadien et son engagement aux côtés des autorités pour affronter les épreuves conjoncturelles et soutenir les efforts en matière de lutte contre la pauvreté », a déclaré l’Ambassadeur de France au Tchad.

G5 Sahel : La France rappelle leur engagement aux donateurs

C’est lors du Forum sur la paix et la sécurité en Afrique, qui s’ouvre ce lundi 05 novembre à Dakar au Sénégal.

 

Moins d’un quart des quelque 400 millions d’euros promis pour équiper la force conjointe du G5 Sahel (Mali, Mauritanie, Niger, Tchad et Burkina Faso) ont effectivement été déboursés, a regretté dimanche soir 4 octobre la ministre française des armées Florence Parly, qui compte rappeler les pays donateurs à leurs engagements lors du Forum sur la paix et la sécurité en Afrique, qui s’ouvre ce lundi à Dakar.

Pour lutter contre les groupes djihadistes qui se jouent des frontières dans la bande saharo-sahélienne, ce groupe de cinq pays a réactivé en 2017 son projet de force conjointe, initialement lancée en 2015 avec l’appui de la France. Mais les 414 millions d’euros promis lors d’une conférence internationale en février afin d’équiper cette force de près de 5 000 hommes qui manque cruellement de moyens arrivent au compte-gouttes.

Les engagements « pour l’instant, se matérialisent très lentement », à hauteur de seulement « 10 à 25 % des fonds », a déploré Florence Parly devant la presse, dans l’avion qui la menait vers la capitale sénégalaise.

L’Arabie saoudite, l’un des plus gros contributeurs avec 100 millions d’euros promis, n’a notamment toujours pas livré les équipements prévus. « L’enjeu » du Forum de Dakar, « c’est d’abord de maintenir la priorité sur les opérations de la force conjointe du G5 Sahel » qui « n’est pas équipée comme elle doit l’être », a insisté la ministre française.

La cinquième édition de ce forum international, lancé après le sommet Afrique-France de 2013, accueillera pendant deux jours quelque 500 participants – responsables politiques, chercheurs, représentants d’institutions internationales ou d’organisations non gouvernementales. Il doit s’ouvrir ce lundi matin par le président sénégalais Macky Sall et le ministre français des affaires étrangères, Jean-Yves Le Drian, y est attendu mardi.

Florence Parly a parallèlement appelé les pays du G5 Sahel à reprendre leurs opérations conjointes, suspendues depuis juillet en raison de la saison des pluies. « La saison des pluies est en train de se terminer, donc il est important de relancer ces opérations. Certaines sont déjà planifiées », a déclaré la ministre française.

La force conjointe du G5 Sahel a mené six opérations depuis la fin 2017, qui n’ont pas donné lieu à des affrontements avec les groupes djihadistes. Interrogée sur la détérioration de la situation sécuritaire au Burkina Faso, frappé ces derniers mois par de multiples attaques, Florence Parly a reconnu qu’elle suscitait « beaucoup d’inquiétude ». « On prend très au sérieux cette situation », qui a conduit les autorités burkinabées à solliciter à deux reprises en octobre l’intervention de la force française « Barkhane » déployée au Sahel, a rappelé la ministre. La France et le Burkina « travaillent en ce moment à formaliser un cadre » de collaboration entre les deux pays, a-t-elle ajouté.

Tchad : un don de 4 véhicules à la Gendarmerie nationale

Ce don a été fait par la République française aux forces de sécurité tchadiennes.

 

Bonne nouvelle pour les forces de sécurité tchadiennes. La Gendarmerie nationale a reçu un don de 4 véhicules de la France.

L’Attaché de sécurité intérieure de l’Ambassade de France au Tchad a présidé une cérémonie le 17 juillet 2018. Au cours de ladite cérémonie, il a remis officiellement les clés de 4 véhicules Mitsubishi Pajero au directeur général de la gendarmerie nationale tchadienne.

Ces véhicules sont financés par la direction de la coopération de sécurité et de défense du Ministère de l’Europe et des Affaires Étrangères de la France.  Ces outils, dont le financement se fait dans le cadre de projets conduits par la coopération française, sont destinés à l’Inspection technique et à la Section nationale de recherches judiciaires de la gendarmerie nationale (SNRJ).

Lac Tchad : le PNUD pour la sauvegarde des écosystèmes

L’ONG apporte son appui technique dans un projet coordonné par le  ministère de l’environnement du Tchad en partenariat avec la France.

 

Le Projet de Réhabilitation et de Restauration des Écosystèmes du Lac Tchad (PRRE-LT) est élaboré sous la coordination du ministère de l’environnement, de l’eau et de la pèche. C’est en partenariat avec le Gouvernement de la République française avec l’appui technique du Programme des Nations Unies pour le Développement (PNUD).

Dans ce cadre, plusieurs activités sont menées en 2018 : des plants sont mis en terre sur une superficie de 30 hectares sur les sites de Méléa, Liwa et Tataferom ; 71 groupements dont 42 groupements féminins sont identifiés et recensés ; environ 100 000 pots des plants sont produits à Baga-Sola etc.

Ce projet de réhabilitation et de restauration des écosystèmes du Lac Tchad a permis de stopper la dégradation des sols sur les différents sites du Lac Tchad, de préserver les cuvettes hydrauliques, d’adopter les techniques innovantes renforçant la productivité agricole des populations. Aussi, il a permis aux femmes et jeunes d’accéder à des moyens d’existence durables et à des emplois créés dans le cadre de la promotion des énergies renouvelables.

Le projet de réhabilitation et de restauration des écosystèmes du Lac Tchad (PRRELT) vise à reboiser et restaurer les zones dégradées sur une superficie de 4000 hectares. Ce projet intervient pour améliorer l’adaptation et la résilience des systèmes de production agricoles. Pour ce faire, une série d’initiatives locales à valeur socio-économique et environnementale en faveur des femmes et des jeunes est également en vue.

Élaboré sous la coordination du ministère de l’environnement, de l’eau et de la pèche, en partenariat avec le Gouvernement de la République de France avec l’appui technique du Programme des Nations Unies pour le développement, le PRRELT vise à la fois les services techniques déconcentrés, les organisations communautaires à la base et les unités de production familiales. C’est dans la région du Lac Tchad précisément dans les localités de Melea, Baga-Sola, Liwa, Tataferom que le projet est mis en œuvre, avec la possibilité d’étendre des petites actions au niveau des localités voisines.

Le projet prend en compte entre autres les objectifs de développement durable, le Plan National de Développement 2017-2021.