Tchad : le ministère de la culture organise un concert en soutien aux artistes

Pour manifester son attachement aux artistes et musiciens, le ministre des Affaires Culturelles, du Patrimoine Historique, du Tourisme et de l’Artisanat organise un concert le 21 juin à la Place de la Nation.

En prélude à la fête de la musique, le ministre des Affaires Culturelles, Abakar Rozzi Teguil, a tenu un point de presse le 19 juin à l’Espace Talino Manu.  La fête de la musique qui sera célébrée le 21 Juin 2023 à la place de la Nation, avec tous les artistes était au centre de sa communication. Il a laissé entendre que ce sera : « l’occasion pour lui de prouver aux artistes et musiciens que son ministère est avec eux et les soutient. »

« Qu’ils soient à la télé, à la radio ou sur les réseaux sociaux, Les artistes sont proches de vous et sont à vos côtés au quotidien. Je voudrais vous demander d’être présent pour eux et d’appeler vos amis et vos proches pour prendre part à ce grand concert qui aura lieu le mercredi 21 juin dès 16h à la Place de la Nation dont l’entrée est gratuite.» Cette déclaration du ministre survient à une période où certains artistes se sentent léser par leur département.

Tchad : les activités culturelles ont repris à l’Institut français du Tchad

L’institut français du Tchad (IFT) a rouvert ses portes le 28 septembre 2020. Un concert a été organisé sur l’espace des jardins hier lors de la rentrée artistique 2020-2021

La réouverture de l’IFT marque la reprise des activités culturelles. Après six mois de fermeture pour cause de crise sanitaire liée à la maladie à coronavirus, les activités reprennent progressivement. Dans le cadre de la reprise des activités artistiques, Abdoulaye N’derguet a offert un concert sur l’espace des jardins. Lequel a été rénové pendant les mois de fermeture

Au cours de la cérémonie de réouverture, les responsables de l’IFT ont informé que le bureau Campus France ouvrira chaque matin de 10 à 13h à partir du mardi 6 octobre. Les autres activités tels, le cinéma, les conférences, contes et les activités musicales se dérouleront dans le respect des mesures barrières.

Il est à préciser que pendant le temps de fermeture de l’IFT, les activités culturelles se sont déroulées sur le Web et dans les réseaux sociaux pour garder le contact avec les artistes. L’institut a programmé à cet effet 12 concerts web et 8 émissions (Aqua culture).

Musique : l’artiste Melodji en concert ce soir à l’Institut Français du Tchad

Mais en prélude au lancement de son deuxième album, Melodji sera en concert ce vendredi 5 avril à l’IFT (Institut français du Tchad). A cet effet, elle a livré une interview menée par Tchadinfos et repris par journaldutchad.

Bonjour Melodji, parlez-nous un peu de cet album qui va sortir.

Bonjour ! C’est mon deuxième album, il est intitulé « Dream » et il sortira entre fin avril, début mai. Il n’y a pas encore de date. L’album a été enregistré à N’Djamena, Paris et Yaoundé. Il nous a fallu presque un an.

Pourquoi avoir attendu tout ce temps pour ce deuxième album ?

J’ai attendu longtemps par rapport aux moyens d’abord parce que je n’ai pas assez de moyens pour faire mon deuxième album et je n’avais pas de producteur. J’ai rencontré mon nouveau producteur, c’est lui qui m’a aidée à faire mon album. Sur le premier album, je me suis débrouillée seule pour le faire mais maintenait avec la crise ce n’est pas évident. Tu ne peux pas être seule pour faire de la musique. Dieu merci j’ai un nouveau producteur et un nouveau manager. C’est peut-être eux que j’attendais pour ce nouvel album.

Qu’est-ce que vous nous proposez de nouveau dans cet album ?

J’ai changé vraiment de style. Avant j’étais plus dans de la musique traditionnelle mais dans cet album, mes mélomanes trouveront du RnB, de la Soul, du Reggae. Je mélange tout. En fait, dans mon nouvel album, tout le monde peut s’y retrouve. Des jeunes peuvent s’y retrouver, des personnes âgées aussi.

Pourquoi avoir opté pour ce changement de style ?

Parce que je vise l’international (Rires). Quand tu fais la musique traditionnelle, oui c’est bien, c’est beaucoup apprécié ailleurs. Par exemple lors des festivals où je suis invitée à prester, les gens aiment parce que c’est du jamais vu. Mais la nouvelle tendance, beaucoup d’artistes l’adoptent donc je m’y suis mise aussi parce que je veux aussi être dans cette tendance. Juste mélanger de style et sortir un peu de ma zone de confort pour voir ce que ça donne.

Il y a quand même des titres d’inspiration traditionnelle dans cet album ?

Oui. Dans cet album on trouve tout. J’ai proposé une palette de musique traditionnelle et moderne.

Pour finir, pourquoi vous n’étiez pas présente lors du concert de votre groupe « Matania » ?

C’est parce que j’ai été nominée pour les Canal d’or, je devais y aller. Elles m’ont appelée et je leur ai dit que je devais aller au Canal d’or. Je prépare mon album et mon concert. Alors qu’elles me laissent le temps de faire tout ça peut-être que je serais là la prochaine fois.

 

Musique : retour sur les temps forts du concert d’Yvan Buravan à N’Djamena

Le lauréat du Prix Découvertes RFI 2018 a mis le show ce 27 février 2019 à l’Institut français du Tchad. Les N’Djamenois et la communauté rwandaise de N’Djamena sont venus découvrir ce jeune talent.

« I love you », c’est la première parole que le docteur de l’amour Buravan a prononcé. En effet, il a ouvert ainsi son tout premier concert au Tchad avec le titre With love. Face à un public majoritairement tchadien, l’artiste a tout donné pour créer un contact. Convaincu, le public a fondu en youyous et applaudissements et a repris certains des refrains durant le concert.

Buravan a enchainé quelques titres puis Malaika. Une chanson qui « a illuminé sa carrière » d’après lui. Pour cause, c’est ce titre qui a fait de lui le vainqueur du Prix Découvertes RFI 2018. Sur ce titre, le public a accompagné Buravan avec les lumières des téléphones.

Le spectacle s’est poursuivi avec des moments d’échanges avec les artistes tchadiens. Notamment le danseur Saleh Maina par des démonstrations de danse rwandaise sur le titre Just dance. Démonstrations qui n’ont pas manqué d’arracher un tonnerre d’applaudissements du public.  Le chanteur Abdoulaye Ndergué a rejoint Buravan sur scène pour chanter l’amour sur Ni njyé nawe.  Instant duel. Puis la chanteuse Matibaye Genéviève a fait pareil sur la mélodieuse chanson Oya. Moment featuring.

 

Musique : le chanteur rwandais Duravan en concert ce jour à N’Djamena

Le chanteur rwandais Yvan Buravan, vainqueur du Prix Découvertes RFI 2018, a annoncé ce mardi le quatrième concert de sa tournée africaine dans les Instituts français lors d’une conférence de presse à N’Djamena.

Avant 2009, il ne savait pas qu’il voulait devenir chanteur. Pourtant cette année-là, il a remporté un concours dans son pays, le Rwanda. Et c’était le déclic.

« J’avais 14 ans quand j’ai découvert mon talent de musique. Avant cela je ne savais pas que je pouvais faire de la musique. Je n’avais pas ça dans mes rêves. Je croyais que j’allais être footballeur », affirme Yvan Buravan lors d’une conférence de presse tenue ce mardi 26 février dans la salle Sahel de l’hôtel Hilton, à N’Djamena.

Carrière solo de Buravan

C’est à l’âge de 20 ans qu’il commence réellement sa carrière solo. Après quelques passages dans des “bandes” et autres chorales dans son pays. Aujourd’hui, à 23 ans, Yvan Buravan est le lauréat du Prix Découvertes RFI 2018 et l’un des chanteurs les plus regardés sur YouTube au Rwanda.

Musique : l’artiste rwandais Yvan Duravan en concert le 27 février au Tchad

Prix Découvertes RFI 2018, le jeune Yvan Buravan est actuellement en tournée sur le continent africain.

En effet, le chanteur rwandais montera sur scène ce mercredi 27 février à N’Djamena.

Prix Découvertes RFI 2018, il a accumulé 1,15 millions de vues ces 12 derniers mois au Rwanda sur YouTube. Ainsi, en une année, au pays des mille collines,  le contenu de la musique d’Yvan Duravan a en effet été le plus visité sur YouTube, le site d’hébergement de vidéos.

 

Tchad : soutien à Dobian Assingar au travers d’un concert

Dobian Assingar ne va pas bien. Voilà des mois déjà que ce défenseur des droits de l’homme est malade. Il devient urgent pour lui de suivre un traitement adéquat à son mal. Mais les difficultés financières auxquelles il fait face l’en empêche. Sa vie pourrait donc être en danger.

Au regard de l’urgence d’un traitement qui se fait sentir, les Tchadiens aussi bien résidents que de la diaspora ont décidé de passer à l’action. Un concert sera donné le 24 novembre prochain dès 14 heures, au centre Don Bosco, afin de collecter et levée des fonds qui lui serviront à se faire soigner.

Au nombre des artistes qui presteront ce jours, on peut citer : Sultan, Rays Kim, N2A Téguil, Décibel Hadre Dounia et Razzolo et bien d’autres. Et pour y avoir accès il faudra débourser la somme de 1000 CFA.

Dobian Assingar est le  cofondateur de la Ligue tchadienne des droits de l’Homme (LTDH) en 1991. Il rentre au Tchad à partir de  1991 après ses études en France. Le jeune haut fonctionnaire devient alors l’un des artisans du renouveau démocratique. Créée la même année, la LTDH jouera  un rôle-clé dans la mise en place, en 1993, d’une conférence nationale souveraine chargée de sortir le pays de la dictature.

 

Musique : Jumelle d’Afrique en concert à l’IFT

Les deux sœurs se produiront le 29 juin 2018 prochain dès 19 heures 30, à la salle de spectacle de l’Institut français du Tchad.

 

Le groupe Jumelle d’Afrique sera en concert le 29 juin à l’Institut français du Tchad (IFT). Pour y assister il suffit de munir de la somme de 1500 FCFA et de se rendre dès 19h30 devant la salle de spectacle de l’institut. A ses conditions, les jeunes femmes qui ont signé depuis la fin d’année 2017 chez International Prod, vous promettent 1h30 de show grandiose. De plus vous aurez la possibilité d’avoir un moment avec les stars de la soirée. En effet, le concert sera suivi d’une séance de dédicace et vente de CD.

Né au Maroc en fin 2013, Jumelles d’Afrique est un groupe musical pas comme les autres. Originaires du Cameroun, les deux artistes qui composent le groupe : Soleil petit cœur et Mc Chanelle, font vibrer les scènes ndjamenoises depuis plusieurs mois. Dans  l’univers musical de ce jeune groupe, on note la prédominance des rythmes africains tels que le bikutsi  le zouglou et par endroit l’afro beat, le slow et le rap.

Depuis le début de l’année 2017 le groupe Jumelles d’Afrique a pu s’offrir une place de choix dans le milieu musical tchadien au sein duquel il évolue actuellement. L’album des jumelles compte 10 titres et s’intitule Sur le chemin. Il parle d’amour dans ses diverses formes, ses contours et ses parfums. Elles chantent des thèmes de société tels que la prostitution, la valeur du travail, le commérage.

Au-delà de leur style, c’est par leur impressionnante présence scénique et leur énergie débordante que les Jumelles d’Afrique sauront vous séduire. Aucun doute, ce concert restera dans les mémoires de l’Institut.