Tchad : 15 morts dans un accident de la circulation sur le pont de Ndila

Un accident de circulation survenu le 24 avril a fait 15 morts et 11 blessés dans la province du Mandoul.

Quinze personnes ont trouvé la mort vendredi 24 avril, dans un accident de la circulation sur le pont de Ndila. Le président de la République, Idriss Deby Itno, a présenté ses condoléances aux familles des victimes dans un tweet le samedi.

Le bilan fait état des 15 morts et 11 blessés. Une lourde perte en vies humaines qui a fait réagir le président de la République. Dans son tweet de du samedi 25 avril, le chef de l’Etat Idriss Deby Into a présenté ses condoléances à la famille des victimes.  Le 24 avril, un camion surchargé avec une soixantaine de personnes s’est renversé sur le pont Ndila dans la province du Mandoul.

« J’ai appris avec une vive émotion la nouvelle de l’accident qui a fait 15 morts et 11 blessés sur le pont de Ndila dans le Mandoul J’adresse mes sincères condoléances aux familles éplorées et je forme un voeu de prompt rétablissement aux blessés. »

Samedi, dans un communiqué de presse, l’Office national de la sécurité routière déplore le récent accident qui a coûté la vie des Tchadiens. Selon l’office, ce tragique cas d’accident interpelle à plus d’un tire les professionnels du transport au respect de règles, notamment les limitations de chargement et la vitesse autorisée.

Pour les usagers, les accidents répétés s’expliquent par la détérioration du pont, même s’ils reconnaissent la responsabilité des chauffeurs.

Opération Colère de Bohoma : Boko Haram « chassé » du Lac

Plusieurs insurgés de Boko Haram ont été éliminés au cours des opérations militaires « Colère de Bohoma ».

De violents affrontements ont opposé  ce week-end, l’armée tchadienne et le groupe terroriste Boko Haram. C’était au cours de l’opération « Colère de Bohoma », lancée par le chef de l’Etat Idriss Déby, après la mort de plus de 90 soldats tchadiens suite à une attaque de Boko Haram.

A ce jour, aucun bilan officiel n’a été annoncé par l’armée. Toutefois, de nombreux insurgés de Boko Haram ont été éliminés au cours des opérations militaires qui se poursuivent désormais en territoire nigérien et nigérian.

Les blessés « légers » sont pris en charge à Baga Sola, dans la province du Lac, par une équipe de médecins dépêchée de l’hôpital militaire de N’Djamena. Elle est appuyée par une équipe de la Présidence et un volontaire.

Après une visite du président Idriss Déby aux blessés dimanche, celui-ci a annoncé que l’ennemi a été « chassé » des îles du Lac après six jours d’opération, tandis que deux postes de commandement de Boko Haram en territoire tchadien ont été récupérés et détruits.

Tchad : deux morts suite à une bagarre

Le drame s’est déroulé lors d’une célébration de pari-vente dans un cabaret de Boutalbakar dans le 7e arrondissement. Une bagarre a déclenchée dans la foulée et a fait deux morts et plusieurs blessés.

Dans un cabaret à N’Djaména le 8 mars, au cours d’un pari-vente deux jeunes sont morts suite à une bagarre. Le motif de la bagarre n’a pas encore été élucidé. Des groupes de jeunes après s’être avinés, se sont en pris les uns aux autres. Certains d’entre eux sont entre les mains de la police pour enquête.

Le premier a rendu l’âme sur le coup et l’autre s’éteindra peu après à l’hôpital. Le chef du quartier, Abakar, se dit troublé par la multiplication des incidents du même genre causés pendant les pari-ventes tous les week-ends. Il indique avoir attiré l’attention des organisateurs. Mais jusqu’ici les dégâts augmentent au contraire.

Abakar néanmoins le silence des autorités malgré ses plaintes.

Six morts dans une nouvelle attaque de Boko Haram

Tous des soldats tchadiens, ils ont été tués dans l’après-midi de lundi 27 janvier, dans une attaque attribué à la secte jihadiste Boko Haram dans la zone de l’île Tétawa.

Lundi 27 janvier, autour de l’île de Tétawa, le groupe Boko Haram frappe à nouveau après un accrochage avec les forces armées. Le bilan provisoire fait état de six soldats tués et il pourrait avoir des blessés.

« Nos hommes étaient en patrouille quand ils ont été attaqué par les éléments de Boko haram. Nous déplorons six morts et dix blessés. », a indiqué le général Taher Erda, chef de l’état-major des armées.

Depuis déjà plusieurs mois, dans cette région, les attaques se sont intensifiées.

Insécurité pendant la Saint-Sylvestre : quatre morts à N’Djamena

Annonce faite par le commissaire Paul Manga, porte-parole de la Police nationale.

Dans la nuit du 31 décembre 2019 au 01er janvier 2020, la police a enregistré dans la capitale tchadienne quatre morts dont deux suite d’un accident de la voie publique et deux, des suites de coups et blessures volontaires. L’information a été donnée par le commissaire Paul Manga, lors de la présentation d’un bilan de la Saint Sylvestre.

On note également enregistré 19 cas de coups et blessures volontaires simples, quatre cas d’accidents de la voie publique graves, 77 cas légers, cinq cas d’accidents avec dégâts matériels et deux cas de chute libre.

Dans les autres provinces, l’on compte 24 cas d’accidents de la voie publique, deux cas de coups et blessures volontaires simples et un cas mortel de coups et blessures volontaires à Magré, sous-préfecture de Peni, dans la province de Mandoul.

D’après le commissaire Paul Manga, « comparativement à l’année précédente, le nombre de cas est élevé. Cela s’explique pour la plupart des cas par la conduite en état d’ébriété, l’excès de vitesse, et surtout le transport en amazone où pour un cas d’accident l’on peut dénombrer trois à quatre blessés. »

Tchad : surpopulation à la prison d’Abéché

Les conditions d’incarcération étaient donc au cœur d’une mutinerie qui s’est produite ce lundi 07 octobre 2019, dans la prison d’Abéché.

Deux morts et au moins onze blessés, c’est le bilan d’une mutinerie qui a eu lieu le 07 octobre dans la prison d’Abéché. Cette situation serait la conséquence de la surpopulation de cette maison carcérale.

La prison d’Abéché, aujourd’hui abrite plus de 500 détenus en plein centre-ville. Selon un défenseur des droits de l’homme, des cellules conçues pour 40 personnes en accueillent deux fois plus. Le nombre de latrines est insuffisant, les repas peu variés, et certains détenus sont enchaînés alors que la loi l’interdit.

Les conditions d’incarcération pas terribles qui crée des tensions. Certains détenus ne conçoivent pas que certains dossiers avancent plus vite que d’autres. Ils se sont donc mutinés ce lundi, pour protester.

Accident à Loumia : le bilan officiel fait état de 13 morts et plusieurs blessés

Le drame est survenu jeudi 02 septembre, à Loumia situé à 80 kilomètres au sud de Ndjamena, la capitale Tchadienne.

Treize morts dont deux femmes et un adolescent et plusieurs blessés selon les sources officielles. C’est le premier bilan d’un accident de la circulation survenu jeudi 13 septembre à Loumia. Un bus de transportant  des passagers en provenance de Moundou s’est renversé. Selon les témoins sur le lieu, le transportait environ 55 personnes.

Les blessés ont été transportés à l’hôpital en N’Djamena par mes véhicules de l’armée parce que la localité ne dispose pas d’ambulance.

Tchad : un conflit entre un agriculteur et un éleveur fait 6 morts et 15 blessés

La dispute entre les deux hommes s’est produite samedi  20 juillet, à Tchiré II, dans le département de la Tandjilé.

Les faits sont survenus dans la journée du samedi 20 juillet aux environs de 14 heures. Un éleveur était de passage avec ses troupeaux. Pendant qu’il parcourait les champs, il a rencontré un agriculteur qui se trouvait dans son champ. Celui-ci (l’agriculteur),  aurait demandé à l’éleveur de veiller à ce que ses troupeaux, ne détruisent pas les plantes.

Pour le chef du village de Tchiré II, Barka Banga, le conflit serait parti de dispute entre les deux hommes. « Ils étaient en pleine discussion et subitement l’éleveur a enlevé un couteau et poignardé l’agriculteur » explique-t-il.

Plusieurs autres personnes se seraient retrouvées impliquées dans cette affaire. Ceci a créé une bagarre générale qui a coûté la vie de 06 personnes et d’une quinzaine de blessés.

Tchad : un avion médicalisé dépêché à Sarh pour transporter les blessés de l’accident mortel sur le pont d’Hélibongo

Sur instructions du Président de la République, huit blessés graves de l’accident survenu sur le pont HeliBongo, au Moyen Chari, ont été transférés à bord d’un avion médicalisé à N’Djamena.

Ils sont désormais pris en charge aux frais de l’Etat à l’hôpital de la Renaissance. Le président de l’Assemblée nationale, Haroun Kabadi s’est rendu ce lundi 11 mars à la tête d’une délégation, dans la province du Moyen-Chari pour s’enquérir de la situation et présenter ses condoléances aux familles des victimes, plusieurs jours après l’accident de circulation du point d’Hélibongo qui a coûté la vie à au moins 26 personnes et fait 22 blessés.

La mission parlementaire s’est rendue sur les lieux de l’accident à Hélibongo. Le pont est construit à 17 km de Sarh, sur la route de Kiabé. Sur place, les enquêteurs de la police nationale et les techniciens du ministère des Infrastructures lui ont expliqué les circonstances de l’accident.

Haroun Kabadi a déploré l’accident qui résulte d’une erreur humaine. Il a donné des instructions pour que des dispositifs routiers soient davantage mis en place à chaque entrée du pont pour limiter la vitesse. Il a demandé à ce que les barrières de sécurité du pont qui ont été rompues lors de l’accident, soient réparées au plus vite compte tenu du risque.

Le président de l’Assemblée nationale a réuni les autorités civiles et militaires de la province du Moyen-Chari. Ils ont évoqué ensemble la possibilité de réparer les préjudices sociaux et financiers causés par cet accident. « En arrivant ici, nous n’étions pas très sûrs des résultats auxquels nous allions parvenir. Nous voulons demander aux services, que ça soit de la police, médicaux ou de la justice, de continuer à faire leur travail dans les détails pour que le rapport qui sera fait soit vraiment explicite. Il faut s’assurer qu’il y ait un rapport qui identifie clairement ceux qui ont été blessés et ceux qui sont indemnes de manière à ce que la justice puisse les prendre en compte », a expliqué Haroun Kabadi. La prise en charge des victimes et le respect des règles du Code de la route ont été évoqués lors de la réunion de restitution.

Un avion médicalisé dépêché à Sarh

La mission parlementaire a saisi le chef de l’Etat qui a dépêché un avion médicalisé à Sarh pour évacuer huit blessés graves ce mardi 12 mars. Ils ont été admis à l’hôpital de la Renaissance et leur prise en charge est désormais assurée aux frais de l’Etat. Ils avaient été évacués à l’hôpital provincial de Sarh à la suite de l’accident.  D’après Haroun Kabadi, « s’il n’y avait pas eu une action rapide pour les évacuer à N’Djamena pour leur prise en charge  dans un hôpital avec des plateaux techniques avancés, on allait peut être les oublier. La réponse du président est à la hauteur de la confiance que le peuple lui a faite. Il a répondu immédiatement en demandant à ce qu’un avion médicalisé soit mis à la disposition des autorités sanitaire afin que les malades soient évacués à N’Djamena, à l’hôpital de la Renaissance ». Le président du groupe parlementaire MPS, Ali Kouloutou Tchami, a déclaré que « cette mission parlementaire a permis de consoler les familles endeuillées et d’évacuer les blessés graves dans une structure adéquate ».

Société : les victimes de l’agression de la panthère ne sont pas encore sorties de l’hôpital

Les victimes ont été admises immédiatement au pavillon des urgences de l’hôpital de l’amitié Tchad-Chine pour les premiers soins. Parmi il y a des cas qui nécessitent une grande chirurgie.

 En rappel des faits, très tôt ce matin du 14 février dans le 1er arrondissement de N’Djamena précisément au quartier Amsinené, une panthère a surgi dans un établissement scolaire faisant 9 blessés. Selon les personnes présentes sur les lieux de la scène, la panthère qui a surpris tout le monde, a escaladé le mur d’une concession et a commencé à agresser les enfants présents dans la cour dont un garçon âgé d’à peu près 12 ans. Le garçon est blessé gravement à la tête. Une femme, alertée par les cris des enfants, n’a pas hésité à sortir pour les secourir. Mais elle est tombée dans la gueule de cet animal féroce. Elle a failli perdre l’une de ses oreilles et son œil droit.

Puis la bête a poursuivi son chemin pour faire d’autres victimes. Deux dames dont l’une est blessée à la main et à la cheville ; l’autre aux bras.

Selon le médecin qui a pris en charge les blessés « l’état du jeune garçon est un peu délicat mais un examen radiographique sera fait pour remédier à ses blessures. Les deux autres dames sont toujours dans à la grande chirurgie pour les soins. Par contre les deux autres dont un jeune homme et un mineur dont les blessures n’étant pas grave ont regagné leurs domiciles ». Le cadavre de l’animal, tué par les habitants, a été remis au commandement de la garde forestière.

 

Société : une panthère blesse grièvement six personnes à Amsinené

Dans le souci de la neutraliser, la panthère a été abattue par les habitants du quartier à plusieurs coups d’arme à feu.

Cet animal sauvage a fait une apparition au quartier Amsinéné dans le 1er arrondissement de la capitale tchadienne. La Panthère aurait blessé six personnes qui se trouvent en ce moment à l’hôpital de l’amitié Tchad-Chine. Parmi les blessés se trouvent des enfants.