Le président burundais, Évariste Ndayishimiye, est investi jeudi à Gitega avec deux mois d’avance sur la date prévue, après le décès soudain de son prédécesseur Pierre Nkurunziza. Il prend en mains les destinées d’un pays divisé, isolé, appauvri et confronté à l‘épidémie de Covid-19.
Le président Ndayishimiye prend la tête d’un Burundi fragilisé
Publié le 18.06.2020 à 11h09 par Florine Mouano

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