Communiqué de presse : Binance Trading Masterclass pour les Africains francophones

Binance qui a déjà formé gratuitement plus de 400 000 Africains sur les crypto-monnaies s’étend maintenant à l’Afrique francophone

Depuis 2020, Binance propose des cours gratuits d’éducation aux crypto-monnaies à travers l’Afrique, sur des sujets allant de la protection des utilisateurs à la construction de carrières dans la blockchain, et fait désormais de même pour les Africains francophones.

 

Le 3 septembre 2021 —Au fur et à mesure que Binance poursuit sa mission d’accroître la liberté de l’argent pour les utilisateurs, de stimuler l’adoption de la blockchain et de permettre une plus grande accessibilité, elle reste dédiée à l’éducation crypto à l’échelle mondiale.

 

Depuis sa création en janvier 2020, la Binance Masterclass a fourni une éducation crypto gratuite à plus de 400 000 Africains. À la fin de 2020, plus de 70 000 Africains ont été éduqués au cours de la première année du lancement de la Masterclass. Binance a depuis doublé ses efforts, fournissant des ressources éducatives à plus de 177 000 Africains au premier trimestre 2021 et à plus de 179 500 au deuxième trimestre 2021 – créant l’infrastructure éducative dont les Africains ont besoin pour être financièrement libres et informés.

  

En juillet 2021, Binance a organisé sa toute première masterclass dédiée aux Africains francophones, indiquant le coup d’envoi de ses efforts d’éducation crypto dans la région. La masterclass a vu plus de 3 900 débutants en crypto apprendre les bases de la blockchain, les moyens les plus faciles d’acheter et de vendre des crypto-monnaies et la façon de faire des revenus passifs ou actifs. Binance, la plus grande bourse de crypto-monnaies et le plus grand écosystème blockchain au monde, a également organisé des sessions pour les débutants, une série de webinaires pour les débutants visant à fournir une introduction aux crypto-monnaies et des webinaires interactifs à travers la région. À l’heure actuelle, plus de 7000 personnes ont bénéficié des efforts d’éducation axés sur la francophonie.

 

Suite à cela, Binance organise un boot camp de trading de 2 jours les 10 et 11 septembre 2021 pour les amateurs de crypto à travers l’Afrique francophone.

 

Inscrivez-vous ICI pour participer à l’événement virtuel

JOUR 1 : Vendredi 10 septembre 2021 à 17h00 GMT

JOUR 2 : Samedi 11 septembre à 11h00 GMT

 

La masterclass vise principalement à doter les utilisateurs de compétences en matière de trading et à leur faire comprendre comment cela fonctionne en termes simples.

« L’éducation en matière de blockchain est au cœur de nos préoccupations sur le marché mondial. En tant que fournisseur d’infrastructures blockchain, nous nous engageons à faire en sorte que de plus en plus de personnes aient accès aux bonnes informations sur le fonctionnement de l’écosystème. L’Afrique est un marché très important pour Binance car nous voyons la profonde opportunité que la blockchain apporte à l’ensemble du continent « , a déclaré Emmanuel Babalola, directeur chez Binance Africa.

À propos de Binance

Binance est le premier fournisseur d’infrastructures de blockchain et de crypto-monnaies au monde, avec une suite de produits financiers qui comprend la plus grande bourse d’actifs numériques en volume. Bénéficiant de la confiance de millions de personnes dans le monde, la plateforme Binance a pour objectif d’accroître la liberté de l’argent pour les utilisateurs et propose un portefeuille inégalé de produits et d’offres crypto, notamment : trading et finance, éducation, données et recherche, bien social, investissement et incubation, solutions de décentralisation et d’infrastructure, et plus encore.

 

Pour plus d’informations, visitez : https://www.binance.com

 

Utilisez l’application mobile de trading de crypto de Binance. Télécharger pour Android ou iOS

L’acte de naissance pour les Français nés au Tchad

Français né au Tchad : où demander un acte de naissance ?

Quand on est Français né en France, la question ne se pose pas : on peut obtenir son acte de naissance (copie intégrale, extrait d’acte de naissance avec filiation, extrait d’acte de naissance sans filiation ou extrait plurilingue) directement à la mairie de sa commune de naissance. Mais que faire lorsqu’on nait de parents Français à l’étranger, notamment au Tchad ? C’est ce qu’on vous propose de découvrir dans la suite. Mais avant, voyons comment les Tchadiens abordent la question de la déclaration de naissance.

Acte de naissance : un document négligé au Tchad

Il est de notoriété publique, du moins en France, que l’acte de naissance est un document juridique officiel attestant de la naissance d’une personne. Pourtant, au Tchad, il est loin d’être une priorité. Pour en avoir le cœur net, un chiffre : 12 %. C’est la part des enfants qui ont un acte de naissance au Tchad, un chiffre qui peut étonner. Ce sont donc 88 % d’enfants tchadiens dont la naissance n’a pas été déclarée par leurs parents. En cause, des procédures jugées complexes, et un coût inaccessible à certaines catégories de la population. Les services d’état civil tchadiens déclarent pour leur part que l’établissement d’un acte de naissance n’est pas aussi coûteux ou compliqué qu’on pourrait le penser…

La situation est d’autant plus aberrante lorsque l’on apprend que la déclaration de naissance au Tchad est obligatoire et gratuite. C’est en tout cas ce que stipule l’article 06 de la loi 0087 de 2013, portant organisation de l’état civil au pays. De quel coût parle-t-on alors ? Selon ce même article, il suffit au parent de l’enfant de présenter le bulletin de naissance au service d’état civil du lieu de naissance pour obtenir, gratuitement, l’acte de naissance de l’enfant. Cette procédure doit être réalisée dans un délai maximal d’une semaine après l’accouchement. Passé ce délai, le parent devra s’acquitter de la somme de 5 000 FCFA.

Acte de naissance pour un Français né à l’étranger

Nous vous le disions, l’acte de naissance est un document juridique officiel qui atteste de la naissance d’une personne et qui peut être sollicité tout au long de la vie de son titulaire pour l’accomplissement de différentes démarches administratives : dossier de mariage, demande de Pacs, succession, divorce… vous êtes Français né au Tchad ? Comme tout autre Français, vous avez le droit de demander et d’obtenir votre acte de naissance ou tout autre document d’état civil, sans que vous n’ayez à solliciter votre ville de naissance au Tchad ou encore les services consulaires en France. Si vous êtes actuellement au Tchad, la question que vous vous posez certainement à ce stade est où demander un acte de naissance pour les étrangers ?

Si vous êtes Français né à l’étranger, il est évident que vous ne pourrez pas demander une copie intégrale ou un extrait d’acte de naissance avec ou sans filiation à la mairie de votre ville de résidence. Vous devrez vous adresser au service central d’état civil de Nantes, un organisme public rattaché au ministère des Affaires étrangères. Seulement voilà, il n’est pas ouvert au public, ce qui est plutôt une bonne chose puisque vous n’aurez pas à vous déplacer.

Français né au Tchad : comment demander un acte de naissance ?

Le service central d’état civil de Nantes, dépendant du ministère des Affaires étrangères et de l’Europe, s’occupe de la délivrance des actes d’état civil aux Français nés à l’étranger (acte de naissance, acte de mariage et acte de décès), y compris au Tchad. L’organisme n’étant pas ouvert au public, en tant que Français né au Tchad, vous devrez alors demander une copie intégrale ou un extrait d’acte de naissance avec ou sans filiation par voie postale à l’adresse suivante : Service central d’état civil de Nantes du ministère des Affaires étrangères, 11 rue de la Maison Blanche, 44941 Nantes Cedex 09.

Vous pouvez également formuler votre demande directement sur le site internet du service central d’état civil de Nantes. Si vous n’avez pas le temps de vous en occuper, la demande peut être faite par vos ascendants, descendants, conjoint, partenaire de Pacs ou par votre représentant légal.

Dominique Tchimbakala : « Il est temps que d’autres femmes sortent de l’ombre et libèrent leur parole »

L’affaire Rokia Traoré – du nom de la chanteuse malienne arrêté et incarcérée à Paris suite à une affaire l’opposant à son ex-mari – continue de susciter de l’indignation. Alors que l’écrivain Felwine Sarr s’est porté solidaire de la chanteuse en expliquant que statistiquement, les femmes africaines perdaient leurs droits parentaux à la suite d’un contentieux post-union, la journaliste Dominique Tchimbakala (d’origine congolaise) apporte un témoignage personnel pour l’étayer.

« Pour la plupart des couples mixtes, les femmes quand elles sont africaines perdent souvent à l’issue de contentieux post-union, leurs droits parentaux. C’est une donnée statistique et structurelle ».

Felwine Sarr, merci d’ouvrir cet espace de parole. Nous sommes trop nombreuses à vivre les situations dont vous vous faites le porte-voix. Sidérées par le choc, anéanties par la violence des institutions sensées nous protéger, nous nous enfermons dans la honte et dans un mutisme traumatique.

La plupart d’entre nous avons été traitées comme des criminelles, insultées, montrées du doigt, jugées folles, hystériques, déséquilibrées et bien sûr, jugées incapables d’être de bonnes mères. Parce que ces mots ont été prononcés, répétés, écrits, validés par des représentants d’institutions ou des autorités administratives, ils ont acquis la puissance d’une vérité judiciaire.

Puisque c’est par les mots que nous avons été enfermées, alors il est temps de reprendre possession de notre récit pour dire qui nous sommes et ce que nous subissons. C’est la raison pour laquelle je décide de m’affranchir de la honte pour témoigner de ce que j’ai vécu.
Que vous soyez une honnête travailleuse, une mère de famille consciencieuse, investie dans la vie scolaire et associative, journaliste reconnue ou artiste de renommée internationale, face à des représentants d’institutions, vous n’êtes rien d’autre qu’une femme noire. C’est-à-dire rien.

Peu importe que vous soyez victime de violences conjugales. Peu importe que vos enfants soient instrumentalisés. Peu importe que votre ex-compagnon ait reçu un rappel à la loi pour possession d’armes sans autorisation. Peu importe votre plainte pour harcèlement (qui sera d’ailleurs classée). Peu importe votre demande de protection à la police, c’est vous qui serez placée en garde à vue. Peu importent les antécédents judiciaires et les articles de presse sur le caractère violent du personnage, si votre ex-compagnon est un homme blanc, il sera tout-puissant.

A l’issue du contentieux post-union, il obtiendra tout. Non seulement vous pourrez perdre la garde de vos enfants mais en effet, perdre jusqu’à vos droits parentaux. Vous serez traitée comme une mère-porteuse. Toutes les institutions juridiques, éducatives, psychologiques, sociales vous regarderont comme suspecte. Et parce que vous ne leur ressemblez pas, parce qu’ils ont du mal à vous mettre dans une case, intuitivement –à leurs yeux- vous serez coupable. Vous serez jugée illégitime pour élever vos enfants. Et plus vous serez calme, plus vous tenterez d’expliquer l’absurdité de la situation, l’absurdité des décisions de justice, plus les institutions deviendront violentes à votre égard. Pour vous remettre à votre place, ou plutôt à celle qu’elles vous assignent.

Oui, les séparations dans les couples mixtes sont souvent plus violentes et traumatisantes que dans les couples non-mixtes. Au moment de la rupture, en particulier si nous en avons pris l’initiative, nous découvrons un autre visage de ces hommes que nous avons aimés, avec qui nous avons vécu et eu des enfants. Nous découvrons des individus capables de se comporter comme le faisaient les grands-bourgeois du 19è siècle ou les colons de la même époque : en maîtres et possesseurs de leurs épouses, de leurs compagnes et de leur progéniture. En conséquence, ils vous prendront tout, à commencer par vos enfants, pour vous punir d’avoir voulu exister en dehors d’eux.

Cette violence post-séparation est malheureusement la réalité de beaucoup de femmes, quelle que soit leur couleur. Mais il faut être une mère noire pour expérimenter la violence des institutions supposées nous protéger.
Cela commence avec une directrice d’école qui alerte les services sociaux en dehors des règles énoncées par l’Education Nationale.

Vient ensuite l’institutrice frustrée, jalouse, envieuse du statut que -vous une femme noire- avez pu atteindre dans SON pays. L’institutrice qui vous insulte devant vos enfants, refuse de vous laisser les récupérer à la sortie de l’école, en l’absence de toute décision de justice ! La même personne rongée par le sentiment de déclassement que vous entendez vous cracher sa haine et vous dire : « ah… Vous parlez bien, hein… Vous parlez bien !»
Puis l’inspectrice d’académie qui refusant de reconnaître la validité de vos arguments conclut par un argument d’autorité spécieux : « Madame nous sommes en France et en France il y a des règles et des lois ».

Puis l’expert-psychiatre désigné par la Cour pour juger de votre santé mentale et déterminé si les enfants sont ou non instrumentalisés. Un « expert » qui ne vous verra jamais interagir avec vos enfants. Une « expert » qui, alors que vous lui exposez les violences auxquelles vous avez été soumises de la part de votre ex-compagnon, vous répond : « Madame vous m’avez l’air volcanique, j’ai du mal à croire que vous vous soyez laissée faire ».
Enfin, le Juge des Affaires Familiales qui- contre l’avis du Juge des enfants !- décide de ne plus vous laisser voir librement votre fils.

Mais tout au long de la procédure, il y a un ex-compagnon, qui vous décrit auprès de tous les intervenants comme une femme «privilégiant sa carrière au bien-être des enfants », comme une personne déséquilibrée se livrant à des « crises d’hystérie sexualisée », bref l’archétype de la femme noire sauvage et sexualisée. Des propos tellement outranciers qu’ils pourraient faire rire si la situation n’était pas dramatique mais qui ne font réagir aucun des éducateurs, assistantes sociales, psychologues et autres supposés experts.

Peu importent les éléments tangibles, peu importent les documents que vous pourrez produire, la justice adoptera à l’égard de votre ex-compagnon une indulgence complice. Quand vous êtes une femme noire, face à un homme blanc et que vous êtes en situation de vulnérabilité, les institutions qui devraient être protectrices deviennent prédatrices.

D’un trait de stylo, elles peuvent vous faire basculer de la case « famille modèle » à la catégorie « cas social ». En une expertise, un jugement, elles peuvent anéantir votre vie et mettre en danger la construction psychique de vos enfants. C’est ainsi que des familles entières sont détruites en France.

Oui, Felwine Sarr, cette réalité est une donnée statistique et structurelle. Et j’ajouterai, pour paraphraser une citation célèbre, qu’il y a quelque chose de pourri en France dans le fonctionnement des institutions et de la justice familiale.
Il est temps que d’autres femmes sortent de l’ombre et libèrent leur parole pour qu’enfin, nous puissions ouvrir ce débat.

Journée internationale des droits des femmes: BGFIBank RDC s’engage au côté du Dr Denis Mukwege

BGFIBank RDC, filiale du Groupe BGFIBank, a eu l’honneur de recevoir le Docteur Denis Mukwege à l’occasion de la journée internationale des droits des femmes.

Connu mondialement pour son engagement contre les mutilations génitales pratiquées sur les femmes en République démocratique du Congo ainsi que pour son travail remarquable dans les régions en guerre de l’Est du pays, le Docteur Denis Mukwege est un gynécologue et militant des droits de l’homme congolais. Surnommé “l’homme qui répare les femmes”, il a reçu de nombreuses distinctions dont le prix Sakharov en 2014 et le prix Nobel de la paix en 2018.

“Il est rare de pouvoir rencontrer l’un de ses héros et je suis donc infiniment reconnaissante de l’opportunité qui m’est offerte aujourd’hui. Docteur Mukwege est l’un de mes héros car il nous réconcilie avec des valeurs fondamentales d’humanité, de solidarité, de compassion, de persévérance et de courage. En octobre 2018, il a été couronné du prix Nobel de la paix et j’espère que ce prix sera prophétique et que la paix s’installera durablement sur tout le territoire congolais.” A déclaré Marlène Ngoyi, Directeur Générale de BGFIBank RDC.

BGFIBank RDC a tenu à remercier symboliquement le Docteur Mukwege pour le temps consacré à partager son expérience avec le personnel de la banque. La filiale lui a donc offert une statue en bois, œuvre d’une artiste congolaise qui peut vivre dignement de son art malgré un handicap.

La direction générale de BGFIBank RDC s’est engagée par ailleurs à apporter son assistance financière à l’hôpital de Panzi pour transformer immédiatement en actes les paroles prononcées à l’occasion de cette journée exceptionnelle.

Pour BGFIBank RDC, accueillir le Docteur Mukwege résonne avec la mission que la banque s’est fixée de promouvoir toujours plus activement son personnel féminin, en ligne avec les objectifs fixés au niveau du groupe.

En effet, avec plus de 2 000 collaborateurs dont 51% d’effectifs féminins en son sein, le Groupe a su démontrer que féminisation des équipes rime avec performance. Nombre de femmes occupent déjà les plus hautes fonctions de la banque, à l’image de Marlène Ngoyi, Directeur Général de BGFIBank RDC et bien d’autres au sein du Groupe.

La Fondation BGFIBank offre une salle multimédia à l’INP Félix Houphouët-Boigny, à Yamoussoukro

Le Directeur Général de BGFIBank Côte d’Ivoire, Monsieur Malick NDIAYE, a assisté ce jeudi 5 mars 2020 à l’inauguration de la salle multimédia de l’Institut National Polytechnique Félix Houphouët-Boigny (INP-HB) à Yamoussoukro, en Côte d’Ivoire.

Cette cérémonie a eu lieu en présence du Directeur Général de l’Institut, Monsieur Koffi N’GUESSAN accompagné de son Directeur Général Adjoint, Monsieur Moustapha SANGARE, du Secrétaire Général chargé de la coordination des services administratifs et techniques, Monsieur Sié PALE, de quelques invités triés sur le volet, ainsi que d’une centaine d’étudiants.

L’inauguration de la salle multimédia fait suite à la convention de mécénat conclue le 3 septembre 2019 entre la Fondation BGFIBank et l’Institut National Polytechnique Félix Houphouët-Boigny.

Composée entre autres de 20 ordinateurs avec une connexion internet haut débit, le tout financé par la Fondation BGFIBank à hauteur de 30 millions de francs CFA, cette donation est l’aboutissement d’un projet d’aménagement et d’équipement qui s’est étalé sur 3 mois.

Le Directeur Général, Monsieur Koffi N’GUESSAN a exprimé, au nom de toute la communauté INP-HB, sa gratitude à la Fondation et au Groupe BGFIBank pour ces équipements qui permettront sans nul doute d’améliorer les performances des enseignements et des activités de recherche.

Monsieur Malick NDIAYE, a quant à lui tenu à rappeler que « Ce don revêt une importance particulière dans l’atteinte des objectifs du Groupe en matière de responsabilité sociétale, car il vise en effet à offrir au personnel enseignant de l’INP-HB ainsi qu’aux étudiants, un cadre d’apprentissage de qualité digne du niveau d’excellence de l’Institut ».

A l’occasion de cette cérémonie qui a marqué une date historique dans le développement des activités de la +en Côte d’Ivoire, Madame Manying GARANDEAU, Secrétaire Exécutif de la Fondation BGFIBank, prenant la parole au nom du Président de la Fondation, Monsieur Henri Claude OYIMA, a réitéré l’engagement du Groupe BGFIBank à soutenir les populations dans l’ensemble des pays où il est représenté.

 « Permettre l’accès à la connaissance est pour notre groupe, une action citoyenne qui vise à l’autonomie et au bien-être des individus » a-t-elle indiqué.

« Partant de ce principe, nous avons construit et équipé des centres de documentation et d’information, construit des écoles et augmenté la capacité d’accueil de certaines d’entre elles, formé des femmes à l’entreprenariat, notamment en Côte d’Ivoire pour ne citer que ces quelques exemples » s’est-elle félicitée.

Le Groupe BGFIBank récompensé lors du 25ème anniversaire de NSIA

Le Groupe BGFIBank a reçu du Groupe NSIA, un des prix destinés aux partenaires, lors de la célébration des 25 ans de l’assureur-banquier. Cette distinction, également attribuée à deux autres entités, récompense les soutiens de la première heure du projet initié en 1995 par Jean Kacou DIAGOU, Président du Groupe NSIA.

En marge de la 44ème Assemblée Générale de la Fédération des Sociétés d’Assurances de Droit National Africaines plus connue sous le sigle «FANAF», tenue à Libreville (Gabon) du 17 au 20 février 2020, le Groupe NSIA, fondé en 1995, a soufflé sa 25ème bougie. Des Awards ont été décernées par la même occasion aux dirigeants, collaborateurs et partenaires du Groupe NSIA, avec une mention spéciale au Groupe BGFIBank et à son Président Directeur Général, Monsieur Henri- Claude OYIMA.

Cette distinction témoigne de la gratitude du Groupe NSIA envers le Groupe BGFIBank, un partenaire qui lui est loyal et fidèle.
Ce prix illustre plus globalement les espoirs que les Présidents des deux Groupes fondent dans la coopération sud-sud.

Les groupes BGFIBank et NSIA sont en effet proches par leurs métiers (la banque, l’assurance et les autres services financiers spécialisés), par leurs implantations actuelles (principalement en Afrique) et par leur engagement effectif à la RSE, en tant qu’entreprises citoyennes.

Lire le communiqué ici 

La BVMAC annonce une série de décisions à la suite d’un conseil d’administration à Douala

Le Conseil d’Administration de la Bourse des Valeurs Mobilières de l’Afrique Centrale (BVMAC), avec à sa tête Henri Claude OYIMA, s’est réuni le 20 février 2020 en son siège social à Douala (au Cameroun).

Il a tout d’abord été question pour le Conseil d’évaluer l’état de la mise en œuvre des décisions prises lors de sa dernière session, tenue le 25 octobre 2019.  Il a donc pris acte de leur état d’exécution et a instruit la Direction Générale de l’atteinte des objectifs assignés dans les délais prescrits s’agissant notamment :
– de la maîtrise des charges ;
– du recouvrement des créances et ;
– de la mobilisation des entreprises en vue d’un recours accru au marché financier.

En ce qui concerne les opérations de marché, la BVMAC a autorisé l’admission à la cote permanente des obligations de l’Etat du Gabon dénommées « EOG 6,25% net 2019-2024 » et des obligations de la société SAFACAM dénommées « SAF1 6% HT 2019-2022 ».  Il a été annoncé en outre, que la première cotation des deux valeurs mobilières aura lieu le 21 février 2020 à Douala.

Le Conseil d’Administration annonce par ailleurs dans son communiqué, avoir examiné le Règlement Général ainsi que le Règlement de Parquet de la BVMAC et a décidé de leur transmission à la COSUMAF pour homologation.

Toujours à travers sa note, le Conseil annonce sa décision de créer en son sein un Comité d’Admissions, en plus du comité d’audit et risques, et celui des nominations et rémunérations déjà existants. Un processus de recrutement d’un nouveau Directeur Général a également été lancé. Celui-ci devrait prendre fonction à compter du 1er janvier 2021.

Au terme des travaux, le Conseil a félicité la Direction Générale pour la qualité des documents présentés et lui a adressé ses encouragements pour les actions engagées en vue de la mise en œuvre effective de la dynamisation du marché financier régional.

Lire le communiqué du Conseil d’administration de la BVMAC ici

BGFIBank Europe annonce la signature d’un partenariat avec BPI France

Cet accord, conclu le 17 février 2020, fait suite à la venue du PDG du Groupe BGFIBank, M. Henri Claude Oyima, en novembre et décembre derniers à Paris.

Il permettra aux deux institutions de mutualiser leur expertise et leur capacité financière au service des entreprises françaises désireuses de se développer à l’export sur les marchés africains. L’accord a été paraphé dans les locaux de BGFIBank Europe, par son directeur général Francesco De Musso et Pedro Novo directeur exécutif en charge de l’export à BPI France. BGFIBank Europe

BGFIBank Europe est la plate-forme européenne du Groupe BGFIBank, premier groupe financier en Afrique centrale, présent dans onze pays et sur deux continents.

Basée à Paris, BGFIBank Europe intervient principalement dans le financement des opérations internationales, le conseil en financement, les services bancaires aux entreprises et aux institutions financières. Elle est accréditée par l’Autorité de Contrôle Prudentiel et de Résolution (ACPR) en tant qu’établissement de crédit
spécialisé sur les entreprises.

BPI France est la Banque publique d’investissement, détenue par l’Etat français et la Caisse des Dépôts et Consignation. Elle est chargée par d’accompagner les entreprises françaises dans leur développement en leur apportant des solutions de financement et accompagnement durant les phases clés de leur activité. Son champ d’intervention est étendu, allant du financement classique, de la participation au capital, à l’assurance aux garanties.